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mardi 25 novembre 2008

Visite téléguidée dans mon passé




Mes très chers amis,

Vous y êtes passé un fois ou deux, vous avez passé une soirée ou plus, vous y avez passé du bon temps, ou non, … Vous vous en souvenez bien, ou pas… vous en avez peut-être juste entendu parler… Quoi qu’il en soit, je vous propose une petite visite rétrospective de notre appartement à Neufchâteau. Nous y avons passé un certain temps, précisément d’août 2002 à novembre 2008, temps qui nous aura permis d’y faire des rencontres mémorables, d’y vivre des instants impérissables et qui nous auront, de toutes façons, permis de grandir, d’évoluer et de se construire jour après jour.
Notre vrai, premier, grand et bel appartement... peut-être le seul aussi vaste... peut être le seul avec des voisins agréables (enfin façon de parler, car à part la mamy du dessous, omettons-en (délibérément) quelques uns, de voisins – notamment le dealer de service, le couple bagarreur et l’ivrogne libidineux) … Bref, l’appartement d’une tranche de vie que nous ne voulons pas oublier, malgré tout…


Si vous voulez bien me suivre… Entrez et soyez les bienvenus…
Commençons par la pièce communément appelée « le bureau »... Une fois la porte d’entrée franchie, première porte à droite dans le couloir (que vous découvrirez plus tard au cours de la visite), vous voici dans l’antre de la création. Création cependant réfrénée par l’économie de chauffage qui sévissait de novembre à avril (vous comprendrez plus tard pourquoi en voyant l’étendue de notre « petit » nid).

En y passant la tête, la première chose qu’on y voit, c’est ça :


Un bureau encombré de moult papiers, plus ou moins importants et plus ou moins organisés, avec des chaises qui ne servent généralement pas autour dudit bureau (rappelons que cet élément de joyeux foutoir donne son nom à la pièce). Derrière lui, une étagère sans cesse alimentée avec des mangas et des figurines datant d’antan et d’aujourd’hui. Sur votre droite, un autre bureau qui ne servait qu’à y poser un écran d’appoint pour petites soirées réseaux entre amis, et entreposer des papiers carrément inutiles à ses pieds. Au mur, posters mangakesques et représentation anatomique détaillée de M. Manson.

Tournons nous d’un léger quart de tour vers la droite…
On voit monsieur Manson de face, mais avec un flash cachant pudiquement ce que la morale réprouvait à une autre époque… à côté du bureau, un canapé deux places (merci Emy) offrant la confortable opportunité de rêveries (re)créatives, quand la boite de la table à dessin veut bien nous y laisser une place).

Retournons nous encore un peu…
A coté du canapé, comme vous pouvez le constater, un joyeux bordel, encore… des livres sur l’étagère, des classeurs, une pochette à dessin, une peinture, des porte-dessins, des dessins achevés et d’autres inachevés, des posters de super héros partout, un ventilateur pour quand il fait trèèès chaud (mais bon, faut relativiser, c’est les Vosges quand même), un calendrier des Suicides Girls de 2006 (merci Thom), des papiers, des feuilles vierges, des planches pour d‘éventuelles futures peintures… Ben vous savez quoi ? C’est chiant à déménager !

Si on se tourne encore un peu, on se retrouve face à la porte par laquelle on a passé la tête y’a pas si longtemps encore.
On voit donc la porte en question, ouverte sur le fameux couloir encore inexploré, avec, cachées derrière, des étagères remplies à craquer de peintures, classeurs, chiffons et matos divers... Et encore à côté, la cheminée Star Wars ! Avec plein de figurines qui parlent ! « Luke, I’m your father », ou bien « May the force be with you, always”, ou encore “biip, biliprrrrp wiip”. Par contre je suis désolée, mais j’imite très mal le sabre laser par écrit.
Comme vous avez pu constatez, au dessus, un poster de Superman et pas de Star Wars , qui lui, trône au dessus de l’étagère sur la photo précédente. C’est complètement illogique, je sais. Mais c’est comme ça. Tiens, pourquoi vous remontez tous voir sur la photo précédente ? Tttttt… manque d’attention…

Dernier quart de tour pour retrouver le bureau. Vous l’avez déjà vu, me direz-vous. Oui, mais non. Il manquait le petit coin à bordel à côté de la cheminée. Avec des tiroirs (qui furent nos premiers tiroirs achetés en commun il y a de ça 10 ans). Depuis, les pinceaux, crayons et feutres y ont remplacés les chaussettes et les culottes. Dans le renfoncement, des vestiges d’une autre époque, qu’on appelle aussi VHS. Une housse de guitare, avec ma guitare dedans (merci Maman). Il lui manque des cordes et je n’ai jamais su en jouer, à part quelques rifs de Nirvana et un peu de « Satisfaction » des Stones. Il paraît que tout le monde sait au moins faire ça. Ben ouais, peut-être, mais j’étais quand même très fière de moi avec mes 3 accords. _______________________________

Changeons maintenant de pièce… Retournez vous, prenez la porte, et avancez de quelques pas. Vous vous retrouvez alors dans le couloir. Faute de temps, je dois bien vous l’avouez, je ne l’ai pas pris en photo sous tous ses angles. Cependant, deux photos plus haut, grâce à la porte ouverte, vous y distinguiez une petite table agrémentée d’une nappe jaune (merci Lulu), avec un miroir au dessus, et un balai pour nettoyer ledit couloir posé contre la table.
Imaginons que vous êtes en face de ça. A gauche de la table, la porte pour la chambre, à droite, la porte pour la cuisine. Une préférence pour la sieste ou le manger ? Non ? Vous vous en foutez ? Bon... alors on va aller dans la chambre. Suivez-moi. Et veuillez effacer immédiatement ce regard trouble et ce sourire douteux. Merci.

Passez la tête par la porte et tournez la vers la droite. Vous remarquerez que le thème « super héros » n’est plus. Il a laissé place à celui de l’Asie, terme générique désignant un style orientalisant plutôt qu’une destination géographique. Car tout y est mélangé allégrement et sans scrupules. J’aime bien ça, moi, le bordel orgiaque de mes objets.
En dessous du masque de Bali qui fait peur mais que j’aime beaucoup (merci chéri), un magnifique scrap d’Emy. Au dessus du même masque, une chtite broderie faite de mes petites mains. Sur le fauteuil (merci tonton), un pingouin. Pas n’importe lequel, il s’agit de Monsieur Pingouin (merci belle maman). Il s’est échappé de sa banquise et préfère la chaleur douillette de nos bras et de notre lit plutôt que l’atmosphère relativement fraîche du pôle. On le comprend. Cachée à moitié par une jupe, une broderie de moi, pas encore encadrée (attention, ceci est un message subliminal : merci Papa !)
Près de la porte (qui mène à la cuisine) un sachet géant avec un pingouin dessus. J’ai un chéri qui aime beaucoup les pingouins. C’est des choses qui arrivent.

Allez, on se tourne.
Magnifique vue sur l’armoire, avec dessus, l’excellent Burger Quiz et le tout aussi excellent Blood Bowl, plus d’autres boîtes de jeux. Dans le miroir, vue d’une porte qui mène à un placard où des outils et autres choses inutiles sont entreposées. Passons.
Au mur, un samouraï (merci Momo), un petit prince qui fait la sieste, un radiateur, et une porte qui mène à la pièce la plus reculée de l’appart. On ira après que je vous aurais montré le lit.

Le lit donc, chose promise, chose due. Au mur, une estampe érotique (ben oui, c’est la chambre quand même), entourée des idéogrammes des 4 saisons. Sur le montant du lit, pfff, du bordel. Mon bol tibétain rempli de… heu… choses, mes boites à bijoux, des colliers sur la lampe de chevet (merci Jérôme), le poste pour s’endormir en musique, et Beddy Buddy, merveilleux petit canard bleu qui réchauffe et sent bon la lavande après avoir séjourné 3 minutes au micro-onde (merci Laure). Ici, il ne cache pas son penchant pour le poste. Je crois qu'il est amoureux.

De mon côté (côté bordel donc), sur la table de chevet, encore du bordel, avec mon livre du moment, Labyrinthe de Kate Mosse qui parle d’une histoire très intéressante avec des cathares (entre autre) et juste en dessous, mon indispensable dictionnaire des perversions. No comment.

Si vous voulez bien, prenons la porte aperçue plus haut, entre l’armoire et le radiateur, pour y découvrir la fameuse « petite pièce ».


Tout de suite à droite, un dessin d’Emy qui remonte du temps où on était à la fac. Au dessus, un Jésus, qui remonte très certainement à l’époque kitsch (merci Mamy). En dessous de tout ça, un tas grand comme ça de manteau et de sacs à main, et encore en dessous, des chaussures cachées. Ben vi, faut bien les entasser quelque part !

On se tourne encore un peu. Le tas de manteau dépasse de la droite. Un autre tas s’accumule depuis looongtemps sur un coffre bleu (celui de quand j’étais bébé) rempli de chaussures (ben oui, y’en a là aussi.. et pis dans la chambre, et pis dans l’entrée, et pis partout ou je les enlève de mes pieds d’ailleurs). A côté, un amoncellement de couvertures, de draps et de chauffeuses pour les z’amis squatteurs (ou saouls, ou les autres), des cartons de fringues très mal cachés par un draps et attention ! Jackie Brown vous tiens en joue !…

Vite ! Tournons nous ! M****, elle est toujours là ! Faisons ceux qui ne l’ont pas vu, en regardant mon truc en plume accroché sur la coiffeuse. Dessus, une partie de mon attirail de sorcière. Des bougies, mon chaudron, des pierres, de l’encens, un pot de tabac (il paraît que ça sert parfois, si, si). On aperçoit un morceau de la grille de la cage de voyage de Wicket en bas à gauche.

On va cadrer un peu plus haut avant de se tourner… Et hop ! Encore des cartons de fringues cachés sous un drap violet. Passons pour s’intéresser plutôt à mon autel à magie. Mais ? Que fait Kiki la dessus ? Le petit fourbe ! Il a du s’y glisser entre deux photos. Il aime beaucoup les photos.

Allez, on sort. On reprend le chemin inverse par la chambre. Par la porte ouverte, on a vue sur une autre porte, celle du salon (qui jouxte le bureau). Mais avant, j’ai bien envie de vous emmenez dans la cuisine (qui jouxte la chambre). Nan parce que je sais pas vous, mais moi j’ai faim ! Qui a dit : « comme d’hab » ? Pfffff ! Facile celle là… Je vais faire celle qui n’a rien entendu.

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La cuisine

Alors, vue sur la droite de la porte. Un congélateur avec du bordel dessus, un frigo avec Oogie Boogie, Jack, Sally et les 3 garnements, des tabliers accrochés que je mets jamais (je préfère m’en mettre partout, c’est plus rigolo), la gazinière, la bouteille de gaz, des cadavres, la TV, l’antenne que même avec je capte rien, la poubelle qui essaye de se cacher mais qui sait pas rentrer son ventre... Au premier plan, le pain de mie et le Nutella. C’est important le pain de mie et le Nut. Surtout quand on a faim.
Oh ! J’allais oublier de vous faire remarquer ma broderie avec le chat qui dort. J’l’aime bien. Peut-être parce qu’elle m’a pris des mois à faire. Et que c’est un chat qui réclame peu d’entretien.Que dire d’une photo comme celle-çi ? Tout le monde a déjà vu de la vaisselle sale, des gants de fours, du produit vaisselle, du salopin… Ma tassimo rouge… avec le temps, j’aurais préféré un Georges qui fait du café à la demande. Mais il paraît qu’il est très occupé en ce moment et que Fred pourrait le remplacer de temps en temps (message subliminal : je t’attends avec la crème de marron). Sinon, bah y’a des post-its pour la liste des courses et la télécommande pour la TV qui marche mal. Mais ce temps est révolu ! Maintenant, ma TV, elle a 30 chaînes dans son ventre ! Et des images nettes ! Ouais, je sais, c’est la classe !

Alors là, c’est mon buffet (merci belle maman)… Dedans, y’a des trucs qui servent à manger et faire la popotte. Comme dans tous les buffets de cuisine je pense. Y’a de la verdure pas loin, dont de la verdure qui se mange, et de la verdure purement décorative (encore que je me demande si le jaune-brulé-par-le-soleil est vraiment décoratif). Pis y’a du bordel dessus et dessous le buffet. Normal. Vous êtes chez moi je vous rappelle.

Ici, la table… Quelle chaise sert le plus souvent ? Trop fastoche ! Une fenêtre avec des rideaux. Normalement, une fenêtre, ça s’ouvre. Et ben pas celle là. Deux ans qu’elle reste fermée et que mes jardinières sont à l’abandon. Alors, au milieu du squelette de mes bruyères, un pissenlit sauvage s’est installé. J’ai rien contre les squatteurs (hein Cotto ?!) mais c’est pas du plus bel effet. Bref. Passons.

Alors… Il est 9h20 et pour toutes les mauvaises langues qui pensent que je me lève tard, hé ben non ! Na ! Ça vous apprendra à médire. Des plantes, encore. Mais y’a surtout mon magnifique bambou (à gauche, derrière l’appareil de torture). Il a survécu alors qu’il faisait 10 cm, dans un verre d’eau sans eau, devant une fenêtre, pendant une semaine. Depuis, le bougre a 8 ans et est plus grand que moi. (Comment ça c’est pas dur ?! Grrrrrr). Il faut que je lui trouve un nom. Vos suggestions sont les bienvenues.
Y’a aussi l’aquarium de Bubulle, sans Bubulle, qui est parti vivre dans le jardin, sous un arbre. Depuis, on l’appelle l’urne. Ce qui est chouette, c’est que ça colle parfaitement avec la déco intérieure qu’affectionnait particulièrement Bubulle : une squelette dans son cercueil qui fait bloup quand y’a de l’eau et une ruine gothique.

*Soupir* Que de souvenirs… Allez, on reprend la porte pour aller dans le couloir.

Deux portes. Une fermée, une ouverte. Mister Jack, c’est les toilettes, l’autre, c’est la salle de bain. Entre les portes, des petites réalisations personnelles pour agrémenter le couloir. J’aime pas trop le vide sur les murs moi, et je fais en sorte que tout le monde puisse le voir.

Envie de pisser ? Pas de problème, on y va.

" Yeah baby yeaaaah ! Shall we shag now or shall we shag later ? "
Je crois que ça se passe de commentaires (pour la traduction, on verra si vous êtes sages). J’aime bien les toilettes pop. Alors y’a du Warhol, mais en fait, c’est du moi. Y’a du Pollock aussi, mais c’est toujours du moi. Oh, pis un pingouin entre les deux avec une citation culte : « Pingouin dans les champs, hiver méchant ! » (Merci Mary !) Y’a des mots croisés aussi (Force 3, attention, c’est du sérieux !), parce que ça passe le temps et que ça rends plus intelligent (et que ça rime !)...


Sur l’autre mur, y’a ça, pour méditer : « Lost in Paradise »... Moué, enfin ça, ça dépend de l’occupant précédent.
Quand on ferme la porte et qu’on est enfermé dans le paradis en question, y’a ça aussi

ça se passe de commentaire (je l’ai pas déjà dis plus haut ça ? Rhooo, mais suivez un peu ! Interrogation écrite à la fin, j’vous préviens ! Vous ferez moins les malins).

Allez, bande de garnements. On va se laver les mains maintenant. Hop hop hop.

Remarquez le sublime meuble vache (c’est moi qui l’ai peinturé comme ça ! si, si !) … Les sorties de bain, les colliers qui pendent sur un magnifique porte bijoux pin-up (merci Caro) - qu’on voit à peine et je m’en excuse, caché derrière la sortie de bain rouge - d’autres bijoux dans mes petites boites (merci encore Caro !), les filles presque nues sur le mur qui se reflètent dans le miroir (merci FHM), d’autres colliers qui pendent devant l’évier… Petit jeu : retrouvez les pingouins ! Indice : y’en a deux.

Hop ! Demi-tour, gauche !

En face de l’évier, y’a la baignoire, avec le fameux rideau de douche bambou. Non, Chris, je le garde, t’aura pas l’exclusivité du bambou ! Pis quoi encore ! Si ça se trouve, je l’avais en premier. Et pis un pied délivre l’autre. Et toc !

Bon, ben on a fait le tour … ah non, pas tout à fait. Si on se retourne, y’a une ch’tite buanderie… J’vous la montre juste pour dire :

Voilà, ça, c’est fait.

Bon, ben maintenant, on change de pièce... la dernière, c’est promis. Mais la plus importante aussi…

Le salon _____________________________

On y accède par le couloir. Logique. C’est flou, mais explicite. Pas ma phrase, la photo.


Il est rouge, donc. Comme le lustre avec ses papillons, comme le coussin sur un fauteuil et comme le tapis sous ledit canapé et le bout des rideaux de la fenêtre du milieu (les terres du milieu, vi, j’y ai pensé aussi, mais bon). Sur la table de salon, une bouteille d’eau et ma DS (merci Moman !). A ses pieds, une bouteille de whisky… no comment.
Dans la TV, les Totally Spice … hem, oui, j’ai un peu honte, mais comprenez moi aussi, le mercredi matin à 9h10, ben y’a rien d’autre. Surtout quand on a que 6 chaînes. Une chance que j’ai pas pris les photos 20 minutes plus tard. C’est l’heure de Bob l’Eponge. Sinon, des VHS dans le coin, la fameuse TV, une Playstation 2 (chéri, chut ! tu auras la 3 quand tu seras sage ! re-chut ! je sais bien que t’es gentil, mais cesse d’insister, boudiou ! D’ailleurs, regarde, t’as oublié de passer l’aspi sur le tapis ! si, si !)


J’vous présente maintenant ce que j’ai eu sous les yeux la plupart du temps…

Le coin TV en face du canapé… Rhooo, la honte, les Totally Spice sont toujours là… regardez plutôt mes magnifiques posters ! Hein oui qu’ils sont beau ? Nick et P.J. qui se font un bisou (merci Mary), Nightmare before Christmas (merci Didie et Ghis), un joli dragon rouge qu’on verra mieux sur la photo d’après (merci Cyril)… Oh, un pingouin ! Celui là, c’est Pugsy (merci Amy). On remarque un tas de VHS par terre... C’est les séries à voir et elles n’ont toujours pas été vues à ce jour, c’est pitoyable... quoi d’autre … des figurines, des DVDs derrière les figurines, des CDs… Bref, l’indispensable kit de survie en milieu urbain.

Mais encore plus indispensable à ma propre survie, y’a ça :
Le coin pc… le mien, c’est celui du fond … il est beau hein ? Je l’aime. Que dire de plus, tout est là, offert à votre contemplation, généreusement et sans retenue. Profitez et admirez. Oh ! Faites moi penser à raccrocher mon calendrier de Victoria Frances (merci Emy).

Cette photo n’existe que pour vous montrer THE guitare ! Elle a appartenu à beau papa, alors jeune et fan des Beatles quand il en est devenu l’heureux propriétaire. Son fils lui a piqué pour l’exposer derrière la porte vitrée... Faites des gosses, tiens ! Bon, précisons quand même que ses cordes ont été caressées et chatouillées par Pierrot, le génialissime guitariste rythmique de Samarabalouf. Elle en est encore toute émoustillée.

Un de mes coins favoris du salon. Parce que la vue est belle et qu’elle inspire calme, luxe et volupté. En tout cas, c’est ce que m’inspirent mes bouquins.
Après réflexion, je pense que c’est à cause de ce genre de déco qu’on me traite de gothique. Mes cheveux noirs n’ont rien à voir là dedans finalement…
Chaque objet ici a sa petite histoire… Je vous la raconterais bien, mais ça risque d’être long. Et j’en vois déjà qui baillent (et la main devant la bouche !?)… Et ben j’vais vous raconter quand même et pis c’est tout !
Le Jésus au mur était abandonné sur une étagère chez Emmaus. On l’a trouvé sympa pour égayer notre studio au CROUS. Depuis il nous suit partout. En dessous, Exalibur et l’épée de Conan, à échelle réduite. Encore en dessous, la petite famille de Jack, et encore encore en dessous, contrairement aux apparences, c’est pas une tête de mort, c’est une tirelire.
Sur la bibliothèque, les roses ne sont pas mortes et séchées juste pour faire beau. Quoi que… Ce sont des douceurs offertes par mon chéri. La rose pour mes 25 ans, le bouquet pour avoir passé avec brio la soutenance de mon DESS (18/20 quand même, ça s’applaudit et ça me permet, une dernière fois, de me vanter pour cette prouesse qui a pas servi à grand-chose).

Et bien voilà, je crois qu’on a fait le tour cette fois. Si d’autres questions vous brûlent les lèvres ou vous empêchent de dormir, je vous en prie, cessez de vous torturez et demandez moi.

Pour finir, une petite vue du jardin dont je ne me suis jamais occupée.

Bien. Maintenant que la visite est finie, c’est l’heure des questions. Ah ben oui, je vous avais prévenu !
Concentration… C’est parti !

1. Combien y a-t-il de pingouins dans ce reportage ? (indice : n’oubliez pas la dernière photo du salon)
2. Combien de personnes ai-je remercié ?
3. Quelle est ma couleur préférée ?
4. Quel est mon réalisateur préféré ?

Et bien voilà… Cette fois c’est vraiment fini. Il est temps de tourner la page et de passer à une autre vie.
Je vous remercie de votre patience si vous êtes arrivé jusque là.
N’oubliez pas le guide ^^